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Primature

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6 janvier, 2023

Augmentation du Prix du carburant


12 ans après la dernière augmentation du prix du carburant à la pompe, une autre augmentation de 5% au lieu de 60% comme demandée par les institutions de Bretton Woods est prévue le 31 janvier 2023.
Grâce au leadership du Président de la République auprès des institutions financières internationales, l’augmentation ne sera que de 5% au lieu de 60%.

Le Congo subventionne le prix du carburant depuis des dizaines d’années pour soulager les populations mais cette méthode est décriée par les institutions financières internationales qui accompagnent le Congo dans la soutenabilité de sa dette et la poursuite des réformes.

A ce jour, le Congo est le seul pays qui vend le litre d’essence et de gazoil à ce prix en Afrique . Les prix du pétrole lampant, du gaz butane et du pétrole d’aviation demeurent stables, aucune augmentation.

En clair, le litre d’essence passera de 595frs à 625frs CFA et de 475 Frs le litre de gazoil à 500frs CFA. Le programme avec le FMI exige du Gouvernement l’abandon des subventions. Le Congo subventionne le prix du carburant depuis des dizaines d’années pour soulager les populations mais cette méthode est décriée par les institutions financières internationales qui accompagnent le Congo dans la soutenabilité de sa dette et la poursuite des réformes.

A ce jour, le Congo est parmi les rares pays à vendre le litre d’essence et de gazoil à ce prix en Afrique . Les prix du pétrole lampant, du gaz butane et du pétrole d’aviation demeurent stables, aucune augmentation.
L’annonce a été faite par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement Anatole Collinet MAKOSSO au cours d’une communication face aux représentants des syndicats des consommateurs et des transporteurs.
Le Gouvernement subventionne le prix du carburant et de l’électricité à hauteur de 250 milliards de frs CFA et 68% de consommateurs ignorent l’existence de cette subvention qui privilégie les intérêts des populations. Pour le FMI, ces fonds pourraient servir à réduire la dette et à réinvestir dans des projets de développement “pour une économie assainie, pour une économie normale” selon Anatole Collinet MAKOSSO.

Département Communication et Relations avec les Médias


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